Mémoire Cellulaire

« Selon les attitudes mentales et les pensées que nous cultivons, nous sommes créateurs du ciel ou de l’enfer dans notre vie »   Luis Ansa

Le déroulé d’une séance et mes outils

Les séances se déroulent à Paris (19ème) ou à Reims centre.

Après avoir échangé sur la problématique globale qui vous amène vers moi, chacune des séances individuelles part d’un objectif lié à ce que vous vivez dans votre quotidien.

Une séance s’appuie sur différents moments :                                 

    • un temps d’écoute et d’échanges
    • et un temps pour le corps, pour ressentir ce qui a été évoqué. Vous êtes allongé, ou assis.

Selon l’objectif de la séance et les dispositions du corps, différents outils et approches peuvent se combiner pour accéder à une compréhension sensée  : 

    • La grille de vie et les cycles de vie mémorisés de Marc Fréchet sont un repère factuel et chronologique de sa vie pour observer les cycles et les liens d’incidence qui se jouent dans votre parcours.
    • La Bio Résonance Cellulaire permet, selon un test musculaire et un protocole, d’écouter les mots du corps reliés à une sensation ou une émotion qui se traversent au souvenir d’un évènement. Ces mots informent sur ce que l’inconscient et les cellules ont gardé en mémoire d’un évènement traumatisant.
    • La généalogie cible les résonances transgénérationnelles.
    • La descente dans le corps quand le corps est prêt à visiter ses mémoires..

A chaque séance sont proposés des exercices comme des actes de rééducation afin de réinformer le quotidien.

Je suis certifiée en Mémoire Cellulaire et en Bio Résonance Cellulaire.
Formée auprès du Centre de Mémoire Cellulaire – Corps et Sens, l’école de Myriam Brousse et Véronique Brousse.

Le projet sens

A l’aube de notre gestation, dès lors que l’ovule de notre mère rencontre les spermatozoïdes de notre père, s’inscrivent des mémoires familiales.

Nos premières cellules se composent des informations de nos parents, de leur rencontre et de l’acte sexuel dont nous sommes issus.

De ce postulat, nous nous intéressons à l’individu 9 mois avant sa conception.

Durant la gestation, ces cellules en développement continuent de capter et d’imprégner l’histoire du couple parental. Leur environnement à l’un et à l’autre, leurs pensées, leurs désirs, leurs émotions sont ressentis par la peau du fœtus. L’épiderme est à ce stade le seul récepteur sensitif du bébé. C’est ainsi qu’il engramme dans sa chair des traces de son histoire.
C’est ce qu’on appelle le projet sens. Il s’ajoute à la mémoire familiale.

Vient ensuite la naissance. Le passage du monde intra-utérin vers la vie demande un engagement. Le bébé va devoir quitter le bain placentaire et impulser un élan pour quitter le ventre de sa mère. Au cours de cette traversée, chaque mouvement, chaque obstacle laissera une empreinte durable à l’être en devenir

Les 9 mois suivants continuent d’impacter l’enfant dépendant de ses parents. L’environnement général, les projections et le vécu de chacun des membres régnant dans son foyer viendront infuser en lui.

Tous ces engrammes, depuis

    • ces 9 mois de préconception
    • sa conception
    • les 9 mois de gestation,
    • la naissance et
    • les premiers mois de sa vie,

    sont les cycles d’imprégnation. Ils ne cesseront de se manifester au long de son existence.

    Ce sont des schémas répétitifs qui nous alertent : des problèmes de santé, des ruptures amoureuses incomprises, des échecs, des relations maltraitantes, des pertes insoutenables, des incidents qui nous paralysent, des émotions qui nous polluent….
    Successivement, des évènements à plusieurs visages viennent entacher notre existence et deviennent de plus en plus douloureux jusqu’à ce que l’individu décide d’en chercher le sens.

    Plus nous recueillons d’informations, plus nous remontons à la source dans laquelle se loge la blessure initiale.

    Par le biais de ces informations, nous pouvons accompagner l’individu à prendre conscience des différents évènements de sa vie, à mettre du sens dans ses comportements et à les relier à son histoire familiale.

La mémoire cellulaire  :  la méthode

Pionnière de la recherche en mémoire cellulaire, Mirra Alfassa dite Mère, mathématicienne, femme de lettres et grande initiée pour le début du XXème siècle disait : Savoir pour le corps, c’est pouvoir faire !

Son travail de recherche avec Sri Aurobindo, philosophe et yogi fondateur du yoga intégral, durera jusqu’à sa mort en 1973 et sera poursuivi par les recherches de Myriam Brousse sur la mémoire cellulaire puis Véronique Brousse qui apportera la Bio Résonance Cellulaire.

Leurs recherches croiseront le travail de Marc Fréchet, l’auteur d’un des outils de la méthode : la Grille de vie et les cycles de vie mémorisés.

Si vous souhaitez lire un premier livre sur ce sujet, je vous recommande Myriam Brousse,  Votre corps a une mémoire.

Tous seront nourris des différents acteurs qui questionnent l’individu dans ses trajectoires et ses mécanismes de vie – psychanalystes, philosophes, scientifiques.

Ils s’accordent à dire que notre histoire commence bien avant notre naissance et que notre corps depuis sa conception fœtale comporte des mémoires de plusieurs vies.

La mémoire cellulaire envisage le corps comme une porte d’accès à une conscience individuelle, collective et spirituelle..

Quand on prend conscience de ces fonctionnements, les accueillir est dans un premier temps l’attention la plus aimante qu’on peut s’offrir, comme une embrassade avec soi même !

De ce point de rencontre, la transformation peut commencer. Et le corps se libérer en lâchant ces modèles définis.

Note :
La thérapie en Mémoire Cellulaire ne se substitue pas à des soins et traitements médicaux mais peut être complémentaire.
Si vous présentez des pathologies psychiques qui nécessitent un traitement et des rendez vous spécifiques, vous êtes priés de les maintenir et de m’en informer dès le début de nos séances.

Cela permet de travailler en adéquation avec un suivi médical.